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NOS ÉTUDIANTS

Que font nos ingénieurs agronomes après leur sortie ?

94 % de nos diplômés ingénieurs agronomes ont une activité professionnelle après leur « sortie d’école », 62 % d’entre eux en tant que cadre[1]. L’observatoire de l’emploi de notre campus agronomique a enquêté auprès de 315 jeunes diplômés agronomes (promotions 2019, 2020 et 2021) afin de s’assurer de leur bonne insertion professionnelle à la sortie de l’école. 89,2 % d’entre eux ont répondu aux questionnaires, nous permettant notamment de mesurer la qualité de leur entrée dans la vie active.

Les trois dernières promotions de diplômés sont interrogées chaque année, 6 mois, 1 an puis 2 ans après l’obtention de leur diplôme. Ces enquêtes servent ainsi de référence pour mesurer les évolutions de l’emploi des jeunes diplômés au fil des ans.

« Aujourd’hui la conjoncture est très favorable aux candidats. Les entreprises peinent à recruter, on a en moyenne 3 offres pour 1 candidat. Par ailleurs, les jeunes diplômés actuels sont véritablement en quête de sens et cherchent à travailler pour des structures qui correspondent à leurs valeurs et leur philosophie de vie. » Selon Sylvie CHABANON, conseillère en insertion professionnelle à VetAgro Sup et coordinatrice de cette enquête

Décliné de l’enquête nationale menée par la CGE (Conférence des Grandes Ecoles) depuis maintenant 30 ans, les questionnaires sont adaptés aux écoles de l’enseignement supérieur agricole et une équipe d’ingénieurs d’études d’EDUTER DIJON accompagne les écoles participantes pour la conception et l’analyse nationale des données.

« Grâce à leur formation à VetAgro Sup, nos jeunes ingénieurs ont en main « une caisse à outils bien remplie ». Quel que soit leur projet professionnel initial, ils sont capables de faire évoluer leur carrière de diverses manières, en devenant expert dans un domaine, en se lançant dans l’entrepreneuriat ou bien même, en s’éloignant de l’agronomie. Leur capacité à gérer des projets, résoudre des problèmes complexes sont notamment des atouts majeurs pour trouver leur voie sans difficultés » remarque Sylvie CHABANON.

[1] Données issues de l’enquête menée en 2022 auprès des diplômés 2019 et 2020